À propos

Comme de plus en plus de personnes, l’idéal de la société de consommation ne me fait pas rêver.

Nous avons besoin d’une révolution philosophique et culturelle plus que technologique. Il est urgent de repenser notre rapport au monde, et de changer nos modes de production et de consommation. Or, on ne s’engage pas sans être convaincu, et peu de gens changent sans y voir un intérêt personnel.

Je crois au pouvoir des récits pour faire évoluer les esprits. Personne ne naît avec l’envie de posséder un SUV en lui. La publicité et plus largement les stratégies de communication des marques jouent un rôle majeur dans la détermination de ce qui est désirable. À travers les idéaux qu’elles véhiculent, elles façonnent nos manières de consommer et de produire.

Je pense que les designers ont un rôle clé à jouer dans la création de nouveaux idéaux d’avenir, en adoptant de nouvelles manières de concevoir et de communiquer, axées sur les besoins humains, plutôt que sur la croissance économique.

Obole existe pour accompagner les créateurs, les visionnaires et les passionnées qui essayent de changer le monde en faisant passer leurs messages au travers d’univers visuels disruptifs et sur-mesure, pour que leur voix compte. Pour construire ensemble un nouvel idéal de société, qui donne envie, sans chier sur la planète.

Manifeste

Pourquoi Obole?

J’ai toujours vu le graphisme comme un moyen de transmission, de construire des ponts entre les gens et leurs histoires.

Mon nom de famille est aussi un des noms du passeur du fleuve des enfers dans la mythologie grecque. Une figure qui aide les gens à traverser, et qui fait le lien entre deux mondes. Au-delà du fait que c’est méga stylé, c’est un rôle qui me plait bien, passeuse. Pour que Caron (ou Charon, ça dépend des orthographes) vous aide à traverser, il faut lui donner une pièce de monnaie en guise de paiement, qu’on appelle une Obole.

Donc j’ai créé ce studio pour être une passeuse entre l'ancien monde et le nouveau. Un monde où la communication est au service du vivant plutôt que du pognon.

Qui suis-je ?

Je m’appelle Gwen et je suis directrice artistique et designer graphique. Mon sport favori, c'est de prendre des messages indigestes et de les rendre attractifs même à des cibles super réfractaires. Par exemple faire comprendre le dérèglement climatique à votre tonton réac.

Ça fait à peu près 6 ans que je crée des stratégies de communication et des univers visuels pour toutes sortes de projets. Concrètement, ça veut dire que j’aide des gens (par exemple des entrepreneureuses, des associations, des artistes, des activistes, des institutions…) à communiquer leur message le plus efficacement possible en créant des supports comme des sites internets, des posts pour les réseaux sociaux, des brochures imprimées… Bref tout ce qui s’affiche sur un écran ou s’imprime d’une manière ou d’une autre.

J’ai travaillé pour des projets et des clients très différents, mais la caractéristique commune à presque tous les gens que j’ai accompagnés c’est qu’ils ne voulaient pas faire comme tout le monde. Et ça tombe bien parce que ce qui me plaît c’est de me racler le crâne pour trouver LA bonne idée.

Ayant été élevée par des early adopters des biocoop et des laits végétaux, je suis tombée dans la marmite de l’écologie assez tôt. Donc assez naturellement, maintenant que j’ai un peu le luxe de choisir avec qui je veux travailler, je me spécialise dans les projets à impact positif.